Sur le dos du monde, il y a …
« Blanc, blanc, blanc, j’adore le blanc… »
« Mais parfois il m’arrive de drôles de choses, je me mets dans des états, des états que je ne m’explique même pas. »
Comme chaque jour, cette peintre
en bâtiment s’applique consciencieusement
à recouvrir les murs de couleurs. Son travail terminé, elle lave ses pinceaux.
Quand soudain, elle quitte le monde de la réalité et bascule dans le rêve.
Elle plonge, irrésistiblement dans le monde de la couleur.
Elle voyage alors et explore plusieurs paysages de sa personnalité.
Elle devient insecte à mandibules, sibylle annonciatrice, castafiore volcanique, grand chef cuisinier et bien d’autres encore jusqu’à se retrouver à nouveau…mais transformée.
Chansons drôlesques, motif mystérieux qui se peint au fur et à mesure de l’histoire et théâtre gestuel sont ici réunis pour le plaisir du jeu, la Compagnie 100 Trucs ni Muche nous propose de vivre ici les métamorphoses d’un personnage traçant son monde intérieur sur une grande toile, et par de là nous invite à nous regarder autrement.